“The Toccata quasi una fantasia, op.38, of 1931 is more substantial, a ten-minute single-movement piece in nine sections and an overarching sonata form of considerable difficulty which owes much in its overall design to Liszt. Though hardly widely-known, it is (according to Vlasta Reitterová’s informative booklet notes) Hába’s most frequently played piano work, and Beinhauer’s performance – as with all those on this absorbing album – should win it and its composer many new admirers. It has certainly whetted our appetite for more from this unjustly neglected composer.”
Europadisc, May 2025
“This first-ever complete edition of Hába’s music for ‘normal’ solo piano considerably benefits from pianist Miroslav Beinhauer’s total commitment and advocacy. His brilliant and flexible technique, his abilities as a colourist and his genuine idiomatic connection to the works’ myriad genres make the best possible case for this repertoire. What is more, the original Czech Radio production from which these recordings stem provided Beinhauer with fabulous sound and what appears to be a superbly regulated concert grand.”
Gramophone, June 2025
“Après avoir enregistré les pages pour harmonium en sixième de tons sur un instrument spécialement construit pour Haba, Miroslav Beinhauer offre un panorama davantage complet de l'ceuvre pour piano que Tomas Visek, qui s'en tenait à un floriiège (1997, Supraphon). Le nouveau venu l’empore aussi par un jeuplus souple, tant dans le postromantisme de jeunesse, que dans le trait géométrique que cherchent les pièces des années 1920 (Quatre danses modernes op. 39 pleines de chic). L’interprète sait partager sa passion pour le compositeur, pour mieux nous conduire ensuite vers les partitions destinées au piano accordé en quarts de ton ?”
Diapason, July 2025
“Beinhauer joue l’ensemble dans une atmosphère claire, soulignant de façon naturelle les moments énigmatiques, rythmés ou lyriques, qui rendent justice à un compositeur polyvalent qui, comme le souligne Guy Erismann dans La musique dans les pays tchèques (Fayard, 2001), fut apprécié comme un découvreur et un défricheur. C’est peu dire, pourtant, que le véritable héritage réside en réalité dans le culte de l’émotion poétique et non dans l’inédit ou l’inouï.”
Crescendo, July 2025